Algérie – Le passage à l’anglais ne veut pas dire l’abandon systématique du français. C’est en tout cas l’allusion faite, ce jeudi 1er août, par Tayeb Bouzid, ministre de l’Enseignement supérieur et la Recherche scientifique, lors de la clôture de la conférence dédiée à la préparation de la rentrée universitaire.
Selon le ministre, le sondage, lancé récemment sur les réseaux sociaux, invitant les étudiants à voter ou pas pour la généralisation de l’anglais, a pour but de renforcer la présence de cette dernière. En somme, selon El bilad, il s’agit d’une première machine arrière de Tayeb Bouzid.
Par ailleurs, Tayeb Bouzid a, une nouvelle fois, affirmé que le passage à l’anglais devrait permettre aux universités algériennes de capter des étudiants étrangers. « On peut accueillir des étudiants étrangers à travers la langue anglaise. C’est pour cela, il faut la renforcer », a-t-il notamment déclaré.
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